Mes parents m’ont appelé Georges Yoram FEDERMANN et je les ai crus sur parole.
Citoyen psychiatre qui considère que l’exercice libéral de la médecine entre dans le cadre du service public et que les cabinets individuels ne relèvent pas seulement du réseau libéral, mais sont aussi le fruit d’un investissement collectif de la communauté générale issu des espérances du Conseil National de la Résistance dès 1944.
Président du Cercle Menachem Taffel ( matricule 107 969) qui travaille à tenter de comprendre comment les meilleurs médecins du monde ont pu, à partir de 1933, adhérer en majorité au nazisme et ont pu être à l’origine des premières lois raciales allant jusqu’à décider la sélection des juifs à la descente des trains de la mort.
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Commémore la Saint Valentin 1349 à Strasbourg.
Dirige le pôle médical d’Amnesty International de l’Est.
Médecin agréé par le Préfet pour l’examen des étrangers malades.
A saisi la Halde en novembre 2006 pour dénoncer le refus de soins aux bénéficiaires de la CMU (couverture maladie universelle) par les spécialistes du Val-de-Marne.
A porté plainte auprès de l’Ordre des Médecins, en 2005, contre les Drs Matéi et Douste-Blazy, en tant que ministres pour avoir participé à compliquer l’accès aux soins pour les bénéficiaires de l’ AME (Aide médicale de l’État).
- ''Mon judaïsme est messianique''. Le psy qui soigne la veuve et l'orphelin. Entretien de Georges Yoram Federmann avec C. Siguret sur Akadem, janvier 2019
- La profession de foi de Georges Federman. Entretien avec Eric Vial sur Radio Judaïca Strasbourg, février 2021
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