Avant même l'arrivée du rabbin, les institutions de bienfaisance étaient très actives à Mulhouse. On peut dire qu'avant et après la première guerre mondiale, elles étaient le moteur de la communauté.
Le rabbin les encourage en intervenant personnellement dans leur fonctionnement et en rendant compte régulièrement de leurs activités dans la revue Kadimah. Mais il ne se contente pas de "chapeauter ces institutions", il s'occupe parfois personnellement de cas particulièrement douloureux.
Par exemple il s'adresse en personne à la famille de Madame Marix dont la situation est "matériellement désespérée", pour leur demander de lui venir en aide. Sa requête sera couronnée de succès