Pourim à la maison (H. Junker)

On organisait aussi des bals et on se déguisait. Comme Pourim est la dernière fête de l’année on pense dès le lendemain à la suivante et on commence le nettoyage en vue de Pessah, le peïsser putz.

On termine les fêtes de l'année avec Pourim ( la fête des sorts).

La tradition est de manger du Aman, du homen en souvenir du méchant Aman qui a fini par être pendu grâce à la reine Esther. Alors le homen c’est de la viande fumée car pour la fumer, elle est pendue dans la cheminée.

Dans les synagogues, les enfants font du bruit avec des crécelles à l’évocation du méchant Aman pour le houspiller.

Pourim à Obernai en 1905