Micheline Lévy - 3

Le souvenir



Micheline Lévy en 2011



Micheline Lévy et Simone Veil
Se souvenir de sa maman...
Notre témoin connaît l'histoire de sa mère, Micheline Lévy, en raison du double tatouage présent sur son bras. Monique Quenet-Lévy n'a appris les détails de sa déportation que lors du visionnage de l'interview réalisée par la fondation Spielberg et de la lecture du récit écrit par sa mère, relatant son histoire de résistante et de déportée.
Chaque année, le dernier dimanche d'avril, jour de la commémoration de la déportation, sa famille se réunit. Ses parents avaient pris l'habitude depuis 1975 environ de réunir autour d'eux leurs trois enfants et leurs six petits-enfants. Ceux-ci se sont mariés et  d'année en année, la famille s'agrandit. Ils continuent avec sa sœur jumelle a perpétuer la tradition.
Madame Quenet-Lévy ne veut pas aller à Auschwitz, elle n'y est prête ni psychologiquement ni physiquement. Elle aime se souvenir de sa maman et des bons moments passés avec elle : "une survivante qui a su dépasser l'horreur et devenir une femme pleine de vie et bien sûr une maman".


Un hommage
Micheline Lévy et Simone Veil ont eu le plaisir de se rencontrer lors de l'inauguration de la rue au nom de cette dernière en 2007 à  Briey.
Depuis quelques années, une rue de Briey a été rebaptisée rue Micheline Lévy.


Mur des Noms au Mémorial de la Shoah
Visite au Mémorial de la Shoah
En plus de cette rencontre, nous avons eu l'occasion d'aller au Mémorial de la Shoah à Paris, ce qui nous a permis d'enrichir nos connaissances sur le génocide des Juifs. Lors de cette visite nous avons également pu rencontrer Henri Borlant, survivant de la Shoah, qui nous a conté l'horreur de ce qu'il a vécu alors qu'il n'était qu'un adolescent.

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