La bar mitzwah était longtemps une fête de famille, le garçon de 13 ans avait appris sa section hebdomadaire et seuls les plus érudits la lisaient en entier et faisaient une "drocheh", un discours souvent en habit de fête. Avant la lecture, le hazan avait l’habitude de chanter solennellement l’appel à la Torah selon une mélodie spécifique.
Sur l’almémor, l’estrade sur laquelle il a lu la Torah, sous l’influence allemande, le bar mitzwa coiffé d’un chapeau annonçait sa volonté de rester désormais un juif fidèle et cette tradition s’est maintenue en français. Il était bien sûr félicité par le rabbin.
La bath mitzwah pour les filles à 12 ans a été célébrée tardivement : longtemps elle n’était observée que dans les milieux juifs libéraux allemands, mais elle est désormais adoptée par tous.
L’apprentissage (A. Lévy) |
L’estrade de St Louis (almémor) |
Les félicitations du Rabbin (A. Lévy) |