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Les affligés suivent l'orone les premiers. Accompagner le cortège funèbre, même si ce n'est que de quelques pas, est une grande mitzwa, que chacun de nous se fera un devoir d'accomplir. Les porteurs disent pendant la marche : "Vihi Noam.." (Psaume 91).
Même si le défunt ne ressentait pas pour nous une particulière
sympathie, nous nous joindrons à son cortège funèbre. La
mort efface tout. Par contre, si dans ses dernières volontés,
le défunt a exprimé le voeu contraire, on se pliera à son
désir.
On suivra le cortège en silence. Ce recueillement témoignera aux
affligés la sincérité de la part que nous prenons à
leur deuil.
Si quelqu'un a exprimé le souhait d'être inhumé dans un cimetière où reposent les siens, alors qu'il existe un cimetière dans la localité où il est décédé, nous donnerons suite à sa dernière volonté, hormis le Yom tov. L'enterrement se fera après les fêtes. Si l'ajournement s'avérait impossible, on déposera le corps provisoirement au cimetière du lieu du décès, en précisant que l'enterrement définitif se fera à l'endroit souhaité par le défunt.
La réinhumation :
En principe, l'exhumation d'un mort est interdite. Elle n'est permise
que si on veut réinhumer le défunt près de ses parents
ou en Eretz Israël, ou encore si l'inhumation a été préalablement
déclarée provisoire. Beaucoup de réinhumations ont été
faites au lendemain de la guerre 1939/45. Nos parents morts en exil étaient
nombreux et ils étaient souvent enterrés dans des cimetières
non juifs.
Shabath, Kippour et Yom Tov
Le Shabath et le jour de Kippour, l'inhumation est interdite. Ce serait une profanation du repos sacré, prescrit pour ces journées. Le Yom tov, la mise en terre est permise. Cette permission ne s'applique pas aux autres préparatifs. Pour les exécuter on peut si possible faire appel à un employé des pompes funèbres. Si le deuxième jour de Yom tov cette dernière démarche échoue, ces travaux deviennent licites.
On évitera autant que possible de faire l'enterrement le premier jour de Yom Tov.
La Keriya (La déchirure du vêtement)
Ruben déchire son vêtement de douleur lorsqu'il ne trouve plus Joseph dans la citerne (Genèse 37:29). Jacob en fait autant, lorsque ses fils lui rapportent la tunique bigarrée de son fils Joseph, maculée de sang (Genèse 37:34). Ainsi, l'origine de cette cérémonie se trouve maintes fois illustrée dans notre Bible.
Les affligés tenus à observer les shivoh pratiqueront une déchirure de la largeur de la main, dans leurs vêtements, avant la fermeture du cercueil. Cette déchirure est faite dans le vêtement du dessus. L'Ovel, debout, penché sur le défunt, la fera lui-même. Préalablement, quelqu'un y aura coupé une petite entaille, pour faciliter l'opération. L'affligé en la faisant dira : "Sois loué, Eternel notre Dieu, Roi de l'Univers, Juge équitable et juste."
Pour père et mère, elle se fera à gauche, dans chaque effet d'habillement. Sont exceptés la chemise et le manteau. Pour les autres parents, elle se fait à droite.
A 'Hol hamoëd, il n'y a de keriya que pour père et mère. Le Yom tov, l'interdiction est générale. Pour un enfant mort avant d'avoir atteint trente jours, il n'y a ni keriya, ni avelouth. Un malade ne la fera pas, même s'il s'agit de ses parents. Quiconque perd deux proches en même temps, ne fera qu'une seule keriya. Si la nouvelle du deuxième décès, ne lui parvient que pendant les shivoh, il prolongera la première keriya de la largeur d'une main.
Cette keriya peut être un peu recousue après les shivoh, et entièrement raccommodée après les sheloshim. Pour père et mère, il est permis de la recoudre un peu après les sheloshim, mais d'aucune manière de la raccommoder entièrement. Toute l'année durant, elle doit être bien mise en évidence. Une bande noire ne saurait en aucune façon la remplacer. Les femmes peuvent de suite la recoudre un peu, et après les sheloshim, la raccommoder entièrement. (Précisons que pour la femme, chaque effet d'habillement devra être déchiré à un autre endroit, pour veiller à la pudeur). Si après les shivoh, un autre décès se produit, l'affligé se contentera de déchirer un peu plus la première keriya si celle-ci n'est pas encore recousue. Cependant, pour père et mère, une nouvelle keriya s'impose.
Remarques
Quiconque perd son premier enfant, ne l'accompagne pas à sa dernière demeure.
Au cimetière, les porteurs déposeront l'orone trois fois à terre, avant de l'amener à la tombe. Les jours sans Ta'hanoune (prières de supplication), la marche du cortège ne sera pas interrompue.
Avant l'enterrement, il est recommandé de faire l'aumône en disant : "Tzedokoh tatzil mimoves : la charité délivre de la mort."
La tombe doit être creusée entre le nord et le sud. On n'y mettra l'orone qu'après avoir repris une seconde fois les mesures, pour éviter de devoir le ressortir. L'orone ne doit pas être trop bien fermé pour pouvoir l'ouvrir sur le champ si besoin est. La barre servant à porter l'orone doit être rangée à l'envers après usage. Les affligés jettent les premières pelletées de terre. On ne se passera pas la pelle, chacun la ramassera à terre.
A 'Hol hamoëd les préparatifs de l'enterrement peuvent se faire comme les jours ouvrables. La collation après l'inhumation sera prise debout et non assis à terre. Au cimetière, on dira comme d'habitude : Hamokaum Yena'hem... mais on supprimera le Hatzour Tomim.
Les jours sans Ta'hanoune, le vendredi après-midi, les après-midi des veilles de fêtes, et aux enterrements faits à la tombée de la nuit, on ne dit pas le Hatzour Tomim. Par contre, il sera dit à la veille de la néoménie, la veille de Hanouka, le jour du jeûne d'Esther, le 14 Abh et le 14 Shevath Le 9 Abh on supprime et le Hatzour Tomim et le Kadish. Le Yom tov on ne fait pas la shouroh (présentation des condoléances aux affligés que le rabbin a fait passer entre deux rangs de fidèles).
Quiconque accompagne le cortège funèbre, et s'occupe de la toilette
mortuaire, ne témoigne pas seulement du respect qu'il professe à
l'homme et de l'amour qu'il voue à Dieu, il écarte aussi de son
chemin l'orgueil, la vanité et cultive en son âme, l'humilité.
En effet, le contact souvent répété avec la fragilité
humaine, procure à l'intéressé la pleine conscience de
sa véritable valeur et stimule en lui la volonté de se bonifier
.
" Sache d'où tu viens et où tu vas et devant qui tu auras
à rendre compte de tes actes." (Traité des Principes
3:1)
Devant la mort, nous sommes tous égaux. Là, s'arrête
la différence de rang. Riches ou pauvres, nous sommes soumis à
la même loi. Aussi, nos décisionnaires, nous ont-ils, dans leur
grande sagesse, ordonné de revêtir nos morts sans pompe superflue,
avec simplicité.
Ne trahissons pas cet esprit, il fait honneur à notre culte, qui accorde
plus de prix à une bonne réputation qu'à une pierre tombale
luxueuse sur laquelle le temps efface le nom, même s'il y est gravé
en lettres d'or.
Les Shivoh (7 jours de deuil)
Dès que l'orone a disparu sous la terre, l'avelouth commence. Les shivoh qui en sont le premier stade, durent sept jours. Si l'enterrement a eu lieu le mardi, les shivoh se terminent dans la matinée du lundi suivant. Le Ben shivoh ne remplira pas les devoirs habituels de politesse, et ne prendra pas part au deuil d'autrui, hormis le Shabath, où toutes les manifestations extérieurs du deuil sont interdites.
Le Ben shivoh n'a le droit, ni de s'asseoir sur une chaise, ni sur un banc, uniquement à terre et de préférence dans la chambre où le proche parent est décédé. Il peut faire quelques pas, ou se tenir debout dans la chambre. Il ne mettra pas de souliers de cuir, à moins qu'il ne soit obligé de quitter la chambre, auquel cas, sitôt revenu, il se déchaussera. Cette dernière interdiction ne s'applique pas aux femmes en couches, à des malades, ou à des personnes souffrant des pieds.
Après l'enterrement, si l'heure le permet encore, il dira le Shema', et priera, mais il ne mettra pas les tephilîn, car le premier jour du deuil, l'Ovel ne les met pas. Durant les shivoh, il ne sortira pas, même pas pour aller à la synagogue.
Pendant les trois premiers jours de cette période de deuil, aucune dérogation ne peut être consentie à l'Ovel. Notre tradition leur accorde en effet, une très grande importance. L'Ovel s'abstiendra même de répondre aux saluts de ses semblables.
'Hol hamoëd (jours semi-fériés des fêtes
de Pessa'h et Soukoth) :
Si le proche parent a été inhumé à 'Hol
hamoëd, l'Ovel met les
tephilîn
à 'Hol hamoëd
et le premier jour après la fête. Il en sera de même si
le proche parent a été inhumé le deuxième jour
de Yom tov : l'Ovel
mettra les tephilîn
le jour suivant Yom tov,
car dans ce cas, il n'existe plus à proprement parler de première
journée de shivoh.
Le premier repas :
Après l'enterrement, le premier repas que l'Ovel
prendra ne devra pas provenir de sa maison. Des voisins le lui apporteront,
en signe de solidarité et de témoignage de sympathie. Il est
d'usage que ce repas comporte du pain, des oeufs, et souvent aussi du vin.
Après cette collation, la viande et le vin lui sont à nouveau
permis. Les Sefarades ne consomment pas de viande et ne boivent pas de vin
pendant les shivoh, excepté
le Shabath. Les rapports conjugaux restent prohibés pendant toutes
les shivoh. A 'Hol
hamoëd, les affligés prendront la collation sans s'asseoir
à terre.
Convocation officielle :
Pendant les shivoh, l'Ovel
doit rester chez lui, mais il peut donner suite à toute convocation
émanant d'autorités officielles.
Les affaires :
Pendant les shivoh, l'Ovel
ne traitera pas d'affaires, à l'exception de celles, qui, s'il les
abandonnait, entraîneraient pour lui une trop grande perte. Dans ce
cas, il les traitera à domicile, avec la plus grande discrétion.
Il peut aussi rédiger les lettres urgentes, dont il ne peut pas révéler
la teneur à autrui , en les dictant par exemple.
Le ménage :
Il est permis de faire la cuisine, de la pâtisserie, de laver
la vaisselle, de faire les lits, de nettoyer les chambres, de laver les chemises.
Bref, de faire le strict nécessaire pour assurer la vie du foyer.
Le nécessiteux :
Si par son travail il subvient aux besoins de la famille, il peut
après trois jours, reprendre discrètement son activité,
même s'il est musicien.
Un sho'heth (boucher rituel) :
S'il n'a pas de remplaçant, il peut exercer sa profession.
Un médecin peut visiter ses malades.
Un associé :
Si de deux associés, l'un devient Ovel,
l'autre peut continuer l'affaire, à la condition, d'une part, qu'il
le fasse derrière rideaux tirés, et d'autre part, que la raison
sociale ne porte pas le nom de l'Ovel.
Les maîtres d'école :
S'il s'agit de l'enseignement religieux, ils peuvent le reprendre
après les trois premiers jours des shivoh.
Les gens de maison :
Les gens de maison ont le droit de faire n'importe quel travail pendant
les shivoh. Cependant, le maître
de maison leur accordera chaque jour, une demi-heure de répit pour
leur permettre d'observer l'avelouth.
L'étude de la Torah :
Cette étude est interdite durant les shivoh,
à l'exception de textes dont le contenu est conforme à l'esprit
de cette triste période. A titre d'exemples citons : Job,
les Lamentations de Jérémie, Jérémie...etc.
Kidoush halevonoh (néoménie, bénédiction
de la lune) :
On s'en abstient durant les shivoh,
à moins qu'après celles-ci, il ne soit plus possible de s'en
acquitter.
Le lit des parents décédés :
Ce lit sera remis en état comme s'il était réoccupé.
On veillera cependant à ce qu'il reste libre durant les shivoh.
Les vêtements du Ben shivoh :
Le Ben shivoh durant ces
sept jours ne revêtira ni linge blanc, ni costume neuf. Le changement
de vêtements est admis à condition que ce soit un vêtement
de semaine, et s'il est en deuil pour père ou mère, qu'il y
pratique la keriya.
Celle-ci ne pourra plus être recousue. Pour un autre parent cette keriya
n'est pas exigée.
Le Shabath :
En ce jour, l'affligé, même en deuil pour ses parents,
n'a pas besoin de revêtir un vêtement avec la keriya
; mais cet habit ne sera pas un habit de fête.
Durant les shivoh et les sheloshim, et pour des parents durant l'année, l'Ovel portera sur son Talith, une bordure noire, qu'il aura soin de cacher le Shabath et les jours de fête.
Pour doit-on observer l'avelouth
?
Pour le père et la mère, pour l'enfant (à l'exception
du foetus), pour le frère et la soeur, pour le mari et l'épouse.
Les enfants, c'est-à-dire les garçons âgés de moins
de treize ans et les filles de moins de douze ans, sont dispensés d'avelouth,
même si le deuxième jour des shivoh,
ils atteignent l'âge requis. Cependant, il est d'usage d'exiger d'un
enfant ayant perdu son père ou sa mère, l'observance d'un minimum
des prescriptions imposées à l'affligé.
Shivoh successives :
A partir du jour de l'enterrement du second parent de nouvelles shivoh
commencent.
Circoncision :
Un baal berith (père d'un garçon qui va être
circoncis) durant les shivoh, a le
droit d'assister à la circoncision, même si celle-ci se fait
à la synagogue, sans pour autant avoir le droit de mettre un habit
neuf et de se faire la barbe. Il ne fera pas non plus de festin. Il invitera
juste dix personnes auxquelles il présentera une petite collation ;
après le Benschen les shivoh
reprennent.
Un mohel, qui est Ovel
peut faire une circoncision même le premier jour des shivoh.
Il n'assistera pas au festin organisé en la circonstance et après
la cérémonie son avelouth
reprend sur le champ.
Mariage :
Pendant les shivoh, il ne faut célébrer
ni fiançailles, ni mariage et ce dernier reste interdit pendant les
sheloshim. Si toutes les dispositions
d'un mariage ont été prises, antérieurement à
la mort du père ou de la mère d'un des futurs conjoints, la
dépouille mortelle est déposée dans une chambre à
part, et l'enterrement n'a lieu qu'après la célébration
du mariage. Sept jours après le mariage, commencent les shivoh
et les sheloshim. Si dans ce même
cas, on préfère observer les shivoh
en premier lieu, le mariage peut-être célébré tout
de suite après celles-ci. Si la mort d'un des parents ne survient qu'après
la célébration du mariage, les shivoh
commencent tout de suite après l'inhumation.
Le Shabath et les jours de fêtes :
Le Shabath et les jours de fêtes, il n'y a pas d'avelouth.
Précisons cependant, que les rapports conjugaux restent prohibés
pendant les shivoh.
Le vendredi soir :
Le vendredi soir, l'Ovel
reste à l'entrée de la synagogue. Avant Borakhou et
dans certaines communautés avant Boï Vesholom, deux fidèles
vont à sa rencontre et l'introduisent dans la maison de prières.
En ce Shabath, l'Ovel même
s'il est baal berith ou mohel,
ne peut pas être appelé à la Torah. S'il est
Cohen, il doit quitter la synagogue avant la lecture de la Torah. Cependant,
s'il est le seul Cohen
présent, ou s'il a été appelé par mégarde,
il peut respectivement être appelé ou rester à la Torah,
sans toutefois suivre le texte récité par l'officiant. L'Ovel
peut accepter d'effectuer la sortie et la rentrée du Sefer
, Hagboho et
Gueliloh.
Si le Shabath de la première sortie d'une accouchée tombe
dans les shivoh, celle-ci pourra
revêtir ses habits de fète. Accompagnée de ses voisines,
elle ira à la synagogue, s'asseoir à sa place habituelle.
Pourim :
Si l'inhumation a eu lieu à Pourim
ou à Shoushane Pourim,
l'Ovel devra s'asseoir un certain
temps à terre, le soir après Shoushane Pourim, et ainsi
le premier jour des shivoh sera terminé.
Si Shoushane Pourim tombe un vendredi, cette observance ayant la
valeur de la première journée des shivoh
est reportée au samedi soir après Havedoloh.
Si Pourim tombe dans les shivoh,
il n'y a pas d'avelouth ni
à Pourim, ni à Shoushane Pourim. Seule la vie intime
reste prohibée. Le soir après Shoushane pourim, l'Ovel
s'assiéra quelques instants à terre. Ces deux journées
sont prises en compte dans les sept jours des shivoh.
Le soir de Pourim, l'Ovel fera
sa prière à domicile et ira à la synagogue pour écouter
la lecture de la Meguiloh.
Le matin de Pourim, il peut comme le jour de Shabath, aller à la synagogue.
Si Pourim coïncide avec un vendredi, l'affligé n'attendra pas
à la porte de la synagogue pour y être introduit à l'accueil
du Shabath.
Le 9 Abh :
l'Ovel peut aller à la synagogue
le soir et le matin. Les personnes en deuil dont le 30ème jour tombe
avant le 9
Abh sont autorisés à se faire la barbe et à soigner
leur chevelure. L'Ovel peut même
être appelé à la Torah et réciter la Haphtoroh,
car en ce jour, nous sommes tous tels des affligés.
Les veilles de Rosh Hashonoh et de Yom Kippour :
En ces veilles des solennités
de Tichri, l'Ovel peut
prier les Seli'hoth à
la synagogue, mais quittera celle-ci avant l'office.
Les offices du matin et du soir :
Ils doivent être célébrés
dans la maison de deuil, même s'il n'y a pas d'Ovel.
Si un Ovel sait faire l'office,
il en a le droit.
En présence d'un Ovel voici
la liste des prières qui ne sont pas dites : Ta'hanoune, Vehou-Ra'houm,
Eïl Erekh Apaïm, Lam'natzeïa'h Yanekho, Tiskabal
Tzeloshone dans le Kadish
- selon certains, rien ne saurait justifier cette suppression -, Birkath
Cohanim, le verset Vaani Zos Berithi...dans Ouvo Letzione,
Shir Mizmor Leosof.
Dans Maariv on supprime Shir Hamaaloth,
on commence par Vehou Ra'houm. A Rosh
'hodesh et Hanouka
on saute le Hallel, les fidèles le diront chez eux, ou bien
l'Ovel quittera la pièce
pendant sa récitation. Précisons que l'Ovel
a le droit d'allumer les bougies. A Maariv
à l'issue du Shabath on ne dira pas Vihi Nom, Veato Kodosch.
On dit les Seli'hoth dans la
maison de deuil y compris le Ta'hanoune, seul l'Ovel
ne le dira pas.
A l'issue de chaque office on récitera le Psaume16, "Mikhtom
Ledovid". Après le lernen
qui se fait à chaque office l'Ovel
dit le Kadish
Derabbonone.
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