Les années de guerre et de Résistance
Récits vécus en Thenonnais, Pays d'Ans et alentours
(Dordogne)
Martial FAUCON
En vente chez l'auteur : 13 rue Maurice Ravel, 33520 Bruges, France
- tél : 0556287892 ou 0683053126, fauconmartial@aol.com
; 399 pages ; 24 € - 25 US$ (32,50 US$ frais d'envoi compris)
DANS CE NOUVEL OUVRAGE SUR LA GUERRE ET LA RESISTANCE qui ont marqué
le début des années 40, Martial FAUCON apporte une série
d'éléments, largement illustrés, qui contribuent à
une connaissance plus approfondie des événements mémorables
qui se sont déroulés dans le Thenonnais et ses proches environs,
événements parfois ignorés ou tellement déformés
qu'ils ne reflètent pas la réalité.
Lui-même et de nombreux témoins toujours de ce monde, ayant été
le plus souvent engagés dans le combat ou victimes de la barbarie nazie,
racontent ce qu'ils ont vu et vécu au cours de ces années terribles.
Certains des faits relatés n'ont jamais été divulgués
jusque là, et l'action de personnalités telles que Roger Deschamps
ou le Docteur André Daunois, qui ont dirigé la Résistance
dans ce secteur du Périgord, est restée dans l'ombre, de même
que les rapports avec les Britanniques et la contribution apportée par
ceux-ci.
Martial Faucon en 1945, alors qu'il participait à
l'occupation de l'Allemagne au sein du 126ème R.I. de Brive |
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Ci-dessous en 1998, lors d'une reconstitution du maquis
"Roger" dans le Causse d'Ajat au côté du jeune
Christophe avec son arme factice, dans le rôle d'un maquisard |
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Une séance de communication radio clandestine avec Londres
depuis la Maison Deschamps. A la droite de l'opérateur, Roger
Deschamps, chef du maquis "Roger", et son épouse
Lily. |
Depuis l'Australie où il a immigré depuis une cinquantaine d'années,
Jacques Rey, qui fut, à moins de dix sept ans, le plus jeune volontaire
du Bataillon "Roger" issu de l'Armée Secrète, fait un
extraordinaire récit sur le siège de la poche de Royan et du débarquement
sur l'ile d'Oléron, à laquelle il participa avec les maquisards
de l'unité, presque tous issus du pays. Un récit passionnant, inédit,
tenu presque "au jour le jour" durant tout un hiver sur ce "front
des oubliés".
Enfin un voile est levé sur les épouvantables drames vécus
par des familles juives réfugiées. Depuis la côte Est des
Etats-Unis ou de Lorraine, où ils résident, des survivants décrivent
en détail l'atroce calvaire qui fut le leur lorsque la division Brehmer
déferla, fin mars et début avril 1944, et commit les massacres que
l'on sait. Le village de Saint-Orse fut ainsi, comme on le voit au travers de
leurs souvenirs, un haut lieu de la souffrance mais également de la solidarité.
Les populations locales permirent en effet la sauvegarde de nombreuses vies, grâce
parfois à d'étonnantes initiatives.
Les années de
guerre et de Résistance
Des
chiffres et des faits jamais publiés
sur le martyre des familles juives SAINT-ORSE HAUT-LIEU
DE LA SOUFFRANCE ET DE LA SOLIDARITE 26 REFUGIES
EXTERMINES MAIS
PLUS DE DIX SAUVES GRACE A L'AIDE DE LA POPULATION LOCALE
Dans ce nouvel ouvrage sur les années de guerre et de Résistance,
Martial FAUCON a enquêté sur les atrocités commises
à l'encontre des familles juives réfugiées et a mesuré,
grâce aux témoignages de survivants, retrouvés en
Lorraine ou aux Etats-Unis, toute l'ampleur des drames qui se sont notamment
déroulés à Saint-Orse du fait de la barbarie hitlérienne,
mais aussi les admirables actions de solidarité de la population
locale. Celles-ci, au péril de la vie et même en la perdant
comme ce fut le cas à Rosas, ont permis à plus de dix de
ces réfugiés d'échapper au massacre le 1er avril
1944, tandis que d'autres étaient également sauvés
dans les alentours.
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